Entités de recherche et plateformes technologiques
L’activité scientifique de l’Université Claude Bernard Lyon 1 se déploie au sein de 79 entités de recherche (62 laboratoires de recherches et 17 structures fédératives), réparties entre trois grands secteurs : sciences et technologies (ST), sciences de la vie et de l’environnement (SVE), sciences humaines et sociales (SHS).
L'université héberge également de nombreuses plateformes technologiques. Supports indispensables à la recherche, ces ressources scientifiques de pointe favorisent les échanges entre les chercheuses et chercheurs et leurs structures de recherche.Recherche avancée
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Projets
Les dernières actus scientifiques
- Publication scientifique
Une nouvelle étude démontre comment les dépôts urbains s’accumulant à la surface des routes et trottoirs favorisent l’émergence de microbiotes façonnés par la pollution.
- Publication scientifique
Les lacs situés sous la calotte glaciaire de l'Antarctique pourraient être plus hospitaliers qu'on ne le pensait, ce qui leur permettrait d'accueillir davantage de vie microbienne.
- Evènement / Annonce
Jeudi 18 février 2021, un peu avant 22h00, le rover Perseverance s'est posé avec succès sur la planète Mars ! Après une traversée périlleuse de l'atmosphère martienne, Perseverance a atterri dans le cratère Jezero : un bassin d’impact de 45 kilomètres de diamètre, qu’une rivière a rempli d’eau liquide il y a 3,5 milliards d’années. Ce site pourrait avoir préservé des traces fossiles d’une forme de vie.
- Publication scientifique
Le lipidome constitue l’ensemble des lipides d’un organisme vivant. Son analyse chez les gammares, espèce sentinelle bio-indicatrice de la pollution des écosystèmes aquatiques, permet de mieux comprendre les mécanismes de toxicité induits par les polluants. En analysant le lipidome chez le crustacé Gammarus fossarum, des chercheurs de l’Université Claude Bernard Lyon 1, de INRAE et du CNRS, en collaboration avec l’Institut Max Planck de Dresde, ont pour la première fois localisé et identifié des lipides sulfatés chez ce crustacé d’eau douce. Ces résultats, publiés dans la revue iScience, ouvrent la voie à une meilleure compréhension de l’impact des polluants sur les milieux aquatiques.