Le doctorat, la tête et les jambes

En 2e année de thèse en sciences du sport, Manon Gouez nous rappelle les bienfaits de pratiquer une activité physique pendant le doctorat, aussi bien pour notre corps que pour nos cellules grises !

Manifestement, l’expérience du doctorat est unique. Chaque doctorant(e) entreprend un chemin qui lui est propre. Il est donc impossible de parler au nom de tous. En revanche, pour chacun d’entre nous, la thèse est un marathon et non un sprint. L’important est de tenir la distance, gérer sa course, apprécier l’épreuve et franchir la ligne d’arrivée. Voilà ce qui nous lie.

Une Activité Physique (AP) régulière contribue à la santé et au bien-être tout au long de la vie. Et pourtant, lorsque le parcours du doctorat est évoqué, la considération des activités physiques et sportives est peu abordée. Actuellement en deuxième année de thèse de sciences en physiologie de l’exercice physique appliquée au domaine de la cancérologie, je ne peux qu’encourager mes collègues doctorant(e)s à s’engager dans une pratique physique et/ou sportive pour tous les bienfaits physiques, psychologiques et sociaux que le sport procure.

Découvrez l'article en intégralité sur Sciences pour tous

Publié le 27 janvier 2021 Mis à jour le 4 octobre 2021